top of page

L’arbre de l’homme

Patrick White

(Au Vent des îles octobre 2025 - Traduit de l‘anglais (Australie) par David Fauquemberg)

Un eptit tour.jpeg

Ce roman m‘a profondément marquée par la beauté de sa langue et la lenteur méditative de son rythme. L‘Arbre de l’homme n‘est pas un simple récit de pionniers : c’est une expérience de lecture sensorielle et métaphysique. Patrick White, seul écrivain océanien couronné par le prix Nobel (1973), transforme la vie ordinaire d‘un couple du bush en une épopée de la poussière et du silence. Sa prose, ample et ciselée, mêle naturalisme et lyrisme intérieur. On pense à Steinbeck pour la rudesse des paysages, à Faulkner pour la densité psychologique, mais White ouvre un autre territoire : celui de la patience du vivant, de la lente conquête du sens. Chez lui, planter un arbre ou affronter la pluie devient un acte existentiel. Roman sur le temps, la transmission et la persistance du monde, L‘Arbre de l’homme rappelle que la littérature peut encore être un lieu de révélation. Une œuvre magistrale, exigeante et d‘une beauté nue, qui transforme le réel en lumière.



COUP DE CŒUR D'HÉLENE

  • Facebook
  • Instagram
1, rue Gabriel Marty - 76980 Veules-les-Roses

Abonnez-vous à notre newsletter • Restez informé

© 2022 Les Mondes de Zulma

bottom of page